8 questions à vous poser avant de changer de carrière

Que vous pensiez à vous réorienter après quelques mois ou plusieurs années à exercer dans le même domaine, il y a certaines questions fondamentales à vous poser afin que votre démarche soit un succès.

Pour certains, le choc de la pandémie – avec la fermeture ou précarité de certains secteurs, notamment ceux de la restauration et des services – a forcé un changement de carrière, pas nécessairement désiré. Un fois le robinet de la PCU fermé, il leur a bien fallu se rendre à l’évidence qu’il était temps de se remettre au travail pour se nourrir, se loger, payer les comptes et pouvoir subvenir à ses besoins ou ceux de sa famille. Plusieurs se sont ainsi réorientés, par la force des choses, vers un emploi qui n’était pas forcément celui de leurs rêves mais qui permettait de leur assurer un revenu stable.

Pour d’autres, c’est une remise en question du statu quo qui a fait naître l’envie de changement. Événement marquant, changement de décennie, démotivation, insatisfaction ou impression de stagnation, épuisement professionnel, sensation de malaise intérieur, rêve à assouvir, envie de se réaliser ou simplement de faire autre chose : les motivations qui poussent au changement sont multiples et peuvent aussi bien être de source interne qu’externe.  

Que vous pensiez à vous réorienter après quelques mois ou plusieurs années à exercer dans le même domaine, il y a certaines questions fondamentales à vous poser afin que votre démarche soit un succès.

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  1. Qu’est-ce qui fonctionne pour vous – ou pas – dans votre carrière actuelle?

    Prenez le temps de faire l’inventaire de ce qui vous amène à vouloir changer de carrière à ce moment-ci de votre vie. Est-ce votre emploi qui ne correspond pas à vos intérêts, ou simplement votre milieu de travail qui ne vous convient pas? Est-ce le manque de flexibilité dans les horaires, un patron toxique, trop de microgestion, l’absence de défis intellectuels? Écrivez tout ce qui vous déplait dans votre travail, mais aussi tout ce que vous appréciez dans celui-ci. Ceci vous aidera à identifier ce qui est important pour vous dans un cadre professionnel. Si vous avez du mal à trouver des points positifs, pensez à ce que vous aimeriez voir se produire plus souvent dans votre journée. Ça pourrait vous donner des pistes sur ce qui vous passionne ou sur des forces qui sont sous-utilisées dans votre job actuel.


  2. Au-delà du travail, qu’est-ce qui est important pour vous dans la vie?

    Pensez à ce qui est important pour vous en tant qu’être humain, pas juste dans le contexte du travail. Est-ce que passer plus de temps à la maison pour prendre soin de vos enfants ou d’un parent vieillissant/malade est une priorité pour vous en ce moment ou encore, avez-vous besoin de temps pour vous entraîner à un triathlon? La question n’est donc pas seulement d’avoir un travail pleinement satisfaisant. C’est parfois aussi une question d’équilibre travail-vie personnelle, qui vous permette de vous dédier à ces autres activités qui sont importantes pour vous.


  3. Quelles sont vos valeurs et quel métier vous permettra le mieux de les exprimer?

    Vos valeurs sont au cœur de qui vous êtes. Elles sont les qualités qui vous définissent et lorsque vous pouvez les exprimer dans le cadre de votre travail, vous vous sentirez normalement plus aligné, mobilisé, performant et heureux. Songez donc à vos valeurs – comment vous êtes, quand vous êtes à votre meilleur, ce pour quoi les autres vous apprécient, etc. – et voyez si votre nouvelle carrière potentielle vous permettrait d’incarner ces valeurs et qui vous êtes, chaque jour. Si la réponse est non, ce n’est peut-être pas la bonne voie à suivre pour vous.


  4. Quelle est votre vision dans la vie et en quoi votre travail vous permettra-t-il de la réaliser?

    À quoi aspirez-vous dans la vie, à quoi de plus grand que vous souhaitez-vous contribuer? Projetez-vous dans le futur, dans 10 ans par exemple, et imaginez ce que vous faites et avec qui, l’impact que vous avez, ce que les gens disent de vous. Une fois que vous aurez imaginé la vie que vous souhaitez, pensez à votre futur métier. Est-ce que celui-ci vous permettra simplement de survivre ou est-ce qu’il vous permettra d’avancer vers votre vision? Dans votre travail actuel, si vous comptez simplement les jours qui vous séparent de votre retraite ou de vos prochaines vacances, vous n’êtes probablement pas en train de réaliser votre mission de vie ou d’avancer vers votre vision.


  5. Quelles sont les barrières à l’entrée de votre future carrière et comment pouvez-vous y faire face?

    Pensez-vous avoir les prérequis, connaissances et compétences pour votre nouveau métier? Parfois, par le fait même, votre réorientation pourrait exiger un retour aux études. Dans ce cas, avez-vous envisagé les options qui s’offrent à vous (retour à l’école, formation continue, à temps partiel, etc.)? Devrez-vous concilier votre travail avec vos études et votre famille? Il est important de vous poser ces questions et de vous préparer en conséquence, avant de faire le saut.


  6. Est-ce que je dois planifier un budget pour envisager ce changement de carrière?

    Un changement de carrière peut engendrer certains coûts, directs ou indirects. Par exemple, un retour aux études nécessitera un investissement d’argent, et possiblement une perte de salaire puisque vous ne pourrez plus travailler à temps plein en même temps. Aussi, une réorientation professionnelle peut impliquer une diminution des revenus, par exemple si vous passez du rôle de salarié à celui de travailleur autonome. Avant de passer à l’action, prenez le temps de planifier un budget et de vous informer sur les ressources financières disponibles et accessibles.


  7. Quels seront les impacts sur mes proches ou mon entourage?

    Avant de vous lancer, il serait avisé d’évaluer les impacts de votre réorientation professionnelle sur votre famille, vos amis et toutes les personnes qui seront touchées de près ou de loin par votre projet. Également, demandez-vous si votre situation familiale peut vous permettre de réaliser votre transition de carrière. Prenez le temps d’en discuter avec vos proches pour soulever les effets négatifs et positifs qui pourraient en découler.


  8. Quelle planification devez-vous faire avant de vous lancer vers une nouvelle carrière?

    Avoir un plan de match avant d’amorcer votre transition vers votre future carrière vous permettra de bâtir sur des assises solides et de vivre l’expérience en mode plus zen. Oui, écouter et suivre sa petite voix intérieure, vivre ses rêves est important. Et il est important aussi d’être réaliste et de tenir compte de sa situation personnelle avant de se lancer. Votre santé vous permet-elle de faire cette transition maintenant? Quelle est votre niveau de tolérance face au changement ou au risque? Avez-vous besoin de mettre des sous de côté pour vous créer un coussin financier? Êtes-vous sur le point de recevoir une promotion, un bonus ou une méga-augmentation de salaire? Si la réponse à une de ces questions est oui, le moment est-il bien choisi pour faire le grand saut ou ne serait-il pas plus sage d’attendre un peu?

    Prenez donc le temps de vous écouter, de respecter votre équilibre et vos capacités, tout en tenant compte du contexte externe. Car voilà les clés d’un changement de carrière congruent et aligné avec vos valeurs, votre mission et votre vision.

    Et rappelez-vous de la méthode des petits pas : un enchaînement de petites actions vous fera faire des pas de géants dans votre vie et dans vos projets. En commençant par le premier plus petit pas que vous pouvez faire aujourd’hui.

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Nuria Pérez de León Nuria Pérez de León

Les 4 piliers d’un leadership digne de confiance

L’histoire récente de la démission de la gouverneure générale du Canada, après un rapport désastreux sur le climat de travail toxique qu’elle aurait instauré, m’a inspiré ce billet. Comment se fait-il qu’en 2021, malgré la multitude d’excellents livres, d’articles, de TED talks ou de publications sur les réseaux sociaux, il y ait encore des gestionnaires ou des dirigeants qui pensent, à tort, que le leadership est une question de titre ou de hiérarchie?

L’histoire récente de la démission de la gouverneure générale du Canada, après un rapport désastreux sur le climat de travail toxique qu’elle aurait instauré, m’a inspiré ce billet. Comment se fait-il qu’en 2021, malgré la multitude d’excellents livres, d’articles, de TED talks ou de publications sur les réseaux sociaux, il y ait encore des gestionnaires ou des dirigeants qui pensent, à tort, que le leadership est une question de titre ou de hiérarchie? Résultat : des cultures organisationnelles teintées de méfiance; des climats de travail lourds, malsains ou carrément toxiques; des équipes qui travaillent au même endroit mais pas forcément ensemble; des taux de roulement, d’absentéisme ou d’épuisement professionnel élevés; des employés démotivés, des résultats sur le court terme seulement, etc.

 Alors c’est quoi un bon leader? Ce sujet a déjà tellement été largement abordé, que je ne me lancerai pas ici dans une nouvelle liste d’aptitudes et de qualités. Je me contenterai d’énumérer les six éléments qui, selon moi, sont les plus importants :

  • Vision – Un bon leader a une vision. Il n’attend pas qu’on la lui souffle à l’oreille. Et quand il en a une, il la communique à ses équipes et les inspire – plutôt qu’il ne dicte – à y adhérer et faire en sorte qu’elle se matérialise.

  • Motivation – Un leader motive et mobilise ses troupes. Plutôt que de se positionner lui-même en star, il vise à faire briller les autres en misant sur leurs forces et en les motivant à développer leur plein potentiel. Aussi, au lieu de se concentrer sur les tâches ou les processus, un bon leader se concentre sur les personnes.

  • Direction – Un bon leader donne la direction à suivre et sert de guide à son équipe. Diriger n’est pas un rôle honorifique lié à un titre, qui confère du pouvoir sur les autres. C’est de prendre des décisions, tout en écoutant les idées et les conseils de ses collaborateurs. C’est de savoir quand c’est le temps de mettre la main à la pâte, pour donner l’exemple ou prêter main forte. C’est aussi de savoir quand prendre un pas de recul et laisser les autres prendre l’initiative. Et ce n’est surtout pas de microgérer. La microgestion tue la créativité et l’initiative.

  • Service – Un leader est au service de son équipe, et non pas le contraire. C’est à lui de prendre soin de ses collaborateurs, de leur fournir le soutien et les outils nécessaires au succès de leur travail, de les aiguiller correctement dans la bonne voie. C’est aussi sa responsabilité de reconnaître leurs efforts et leurs bons coups.

  • Empathie – Savoir se mettre à la place des autres est une des qualités essentielles chez un bon leader. Comprendre les préoccupations de ses employés, les aider à trouver des solutions à leurs problèmes, s’intéresser à leur bien-être, à leur vie, à qui ils sont : l’empathie est une preuve d’intelligence émotionnelle et une grande force. Elle inspire, aide à tisser des liens, à bâtir la confiance et, au bout du compte, mène au succès d’une équipe et à des résultats durables.

  • Confiance – Enfin, un bon leader fait confiance à ses collègues de travail. Grâce à cette confiance, les gens se sentent valorisés, donneront le meilleur d’eux-mêmes et laisseront libre-cours à leur créativité. Ceci donne de bien meilleurs résultats que la méfiance ou la microgestion. Un climat de confiance est également essentiel à un esprit d’équipe, où les gens travailleront ensemble vers un objectif commun.  Le leader qui crée un climat de confiance attirera à son tour la confiance des membres de son équipe.

Ce dernier point mérite selon moi qu’on s’y attarde, car lorsque les employés n’ont pas confiance en leur gestionnaire ou en leur dirigeant, le risque pour l’organisation et sa performance est énorme.

Si les organisations sont nombreuses à pousser leurs gestionnaires à suivre des formations en leadership ou en communication, je serais prête à parier qu’il n’y en a pratiquement aucune qui propose des formations sur la confiance. Pourtant, la confiance est directement liée à certains indicateurs de performance RH, notamment la mobilisation au travail, l’engagement et la rétention du personnel.

Les organisations qui ne savent pas comment créer et entretenir une culture de confiance se retrouvent avec un climat de travail teinté de cynisme, où les employés se méfient ouvertement de leurs dirigeants, qui se sentant menacés par cette attitude, instaurent un style de gestion basé sur le contrôle et la surveillance. Dans de tels environnements de travail, les jeux politiques, la rétention d’information et la recherche de coupables, en cas de crise, règnent en roi.

Selon une étude réalisée en 2014 par l’université de Bath, en Angleterre, un leadership digne de confiance repose sur quatre éléments :

  1. La relation avant tout. La confiance nait de la relation. Un bon leader place donc celle-ci au cœur de ses priorités. Il ne s’isole pas dans sa tour d’ivoire mais prend le temps de tisser des liens avec ses équipes, de connaître les gens dont il s’entoure. Il se laisse aussi découvrir par eux, pour que la relation soit vraie, humaine et bidirectionnelle.   

  2. Reconnaitre l’unicité et les talents de chacun. Les gens font confiance à leurs gestionnaires lorsqu'ils se sentent valorisés par eux et reconnus dans leur propre individualité. Une équipe n’est pas monochrome mais formée d’individus uniques, chacun avec ses talents, compétences, connaissances et attributs. Un bon leader sait reconnaitre les forces de chacun et miser sur celles-ci. Il encourage aussi les gens à se développer en continu et ne se concentre pas sur ses seuls besoins à lui, mais sur ceux de son équipe.

  3. Encourager l’imputabilité et la coresponsabilité. Dans un environnement de travail ou la confiance règne, chacun, peu importe son rôle dans l’organisation, est responsable de ses actions. Ainsi, un bon leader reconnaîtra ses torts s’il commet une erreur ou prend une mauvaise décision. De la même façon, il attribuera le mérite d’une réalisation à la personne qui en est l’auteur plutôt qu’à lui-même. Ce dernier élément est fondamental pour gagner le respect de ses employés. En effet, qui a envie d’un patron qui garde toutes les fleurs pour lui-même mais rejette les pots sur les autres… Enfin, la notion de coresponsabilité, qui implique de faire redescendre une partie de la responsabilité vers ses employés, est essentielle pour mettre en place un leadership de confiance. Rendre quelqu’un imputable indique qu’on lui fait confiance et permet à la personne de gagner en expérience, d’apprendre de ses erreurs et de développer son sens des responsabilités, tout comme sa confiance en lui-même. C’est gagnant-gagnant!

  4. Être humain et authentique. Un leader digne de la confiance de ses équipes est perçu avant tout comme un vrai être humain : quelqu’un avec une histoire, des valeurs, une personnalité, des qualités et des défauts.  C’est quelqu’un qui ne considère pas qu’afficher sa vulnérabilité ou ses émotions est une faiblesse, au contraire. C’est quelqu’un qui n’a pas honte de reconnaître ses torts, de demander pardon, de dire merci. Et c’est quelqu’un qui est avant tout perçu comme bienveillant. Quand les membres de l’équipe se sentent en sécurité avec lui, alors tout naturellement ils vont vouloir fournir un effort maximum, donner le meilleur d’eux-mêmes, rester fidèles à l’organisation et jouer la carte de l’équipe.

En somme, un leadership digne de confiance est une question de savoir-être plutôt que de savoir-faire. Plus un leader fait preuve d’intelligence émotionnelle, plus ses employés auront envie de lui faire confiance. Il faut aussi que son intention soit perçue comme sincère et que son empathie soit réelle. Après, s’il est compétent dans ce qu’il fait, tient ses promesses et respecte ses engagements, il détiendra les clefs d’un leadership digne de confiance et donc, d’une équipe épanouie. C’est pourtant si simple…

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Difficile de tenir vos résolutions du Nouvel An? Essayez le tableau de visualisation

Alors comment transformer des vœux pieux en réalité concrète? Une façon plutôt zen et agréable de manifester vos souhaits est de faire un tableau de visualisation. Si vous vous intéressez au développement personnel, ce terme vous est sans doute familier. Le tableau de visualisation (ou vision board, en anglais), est un outil qui synthétise nos objectifs, facilitant ainsi leur réalisation.

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L’année 2020 tire à sa fin et dans le contexte particulier où elle s’est déroulée, la tradition des résolutions du Nouvel An sera sans doute plus populaire que jamais. Nous serons en effet nombreux à vouloir remettre le compteur à zéro et démarrer 2021 le cœur et la tête pleins de rêves, d’espoirs ou de projets.

Malheureusement, dans la majorité des cas, rares sont les résolutions qui tiennent au-delà d’un ou deux mois. Pour citer Alexandre Dumas, fils : “Les résolutions sont comme les anguilles; on les prend aisément. Le diable est de les tenir.”

Alors comment transformer des vœux pieux en réalité concrète? Une façon zen et agréable de manifester vos souhaits est de faire un tableau de visualisation. Si vous vous intéressez au développement personnel, ce terme vous est sans doute familier. Le tableau de visualisation (ou vision board, en anglais), est un outil qui synthétise nos objectifs, facilitant ainsi leur réalisation.

D’après les neurosciences, notre cerveau ne fait pas la différence entre ce que nous imaginons et ce qui existe en réalité. En utilisant la visualisation, nous “imprimons“ ainsi des images et ressentis positifs dans notre inconscient. Ce qui nous aide à les réaliser dans la réalité. Les plus grands athlètes, notamment, utilisent l’imagerie mentale pour réussir en compétition.

C’est le même principe avec le tableau de visualisation. La différence, c’est qu’on utilise un support papier ou carton, par exemple, pour illustrer ce que l’on souhaite voir se réaliser dans sa vie.

Concrètement, donc, un tableau de visualisation est un collage d’images et de mots, qui représentent un but, un résultat souhaité, un rêve ultime. L'idée est qu'en donnant à votre inconscient un plan graphique de ce que vous voulez et de ce dont vous avez besoin, il trouvera les moyens de le réaliser. C’est basé sur la loi de l’attraction, en vertu de laquelle nos pensées créent notre réalité.

Vous pouvez créer un tableau de visualisation pour réaliser vos souhaits, quels qu’ils soient : trouver un nouvel emploi, rencontrer l’âme soeur, atteindre votre poids forme, trouver la maison de vos rêves, atteindre un objectif personnel ou professionnel, etc. L’important, c’est que vous puissiez réaliser vous-même ce qui est exprimé sur votre collage et que ces voeux tiennent compte des répercussions sur vos proches.

Comment faire un tableau de visualisation?

Tout d’abord, définissez votre objectif en vous demandant : “Qu’est-ce que je veux exactement?” Votre objectif doit être précis et surtout, il doit être formulé de façon positive - i.e. ce que vous voulez plutôt que ce que vous ne voulez pas. Questionnez-vous aussi sur ce que ce projet vous apportera et en quoi c’est important pour vous. Assurez-vous d’y croire et surtout, de croire sincèrement que vous méritez que votre souhait se manifeste.

Une fois que vous savez ce que vous voulez, vous êtes prêts à passer à l’action!

  • Rassemblez une pile de vieux magazines - plus la sélection est variée, mieux c'est.

  • Créez une ambiance calme et agréable, propice à l’intériorisation. Puis feuilletez les revues, en découpant les images qui vous intéressent et vous attirent, en lien avec votre objectif. Essayez de ne pas trop y penser, allez-y spontanément et laissez les images vous guider.

  • Collez ces images sur un grand carton. Vous pouvez également inclure une photo de vous (au centre du collage, idéalement) et toute phrase, mot ou citation qui vous inspire.

  • Placez votre collage là où vous pourrez le voir régulièrement, en face de votre bureau, dans votre chambre ou dans la cuisine, par exemple. Puis faites confiance au pouvoir d’attraction de votre création, qui servira de guide pour votre inconscient.

Donc, s'il y a quelque chose que vous avez toujours voulu - essayez le tableau de visualisation. Mais attention : vos rêves pourraient bien devenir réalité!

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